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Réservez vite pour ce dimanche !

Ma nouvelle pièce "Du fromage blanc dans l'escalier" est à l'affiche de la troupe Batifoll, ce week-end au foyer de Boissières (Gard).. C'est déjà complet pour samedi 13 mai. Il reste encore des places pour dimanche 14 mai à 17h. Pensez à réserver au 06 83 19 36 93.

Résumé :

1935. André Guérini dit Dédé la tombe règne sur la ville.

Son cabaret la fleur du port est la plaque tournante d’activités criminelles moins reluisantes.

En bon parrain local, Dédé s’est acoquiné avec Francis Fabiani, homme de pouvoir en passe de gagner la mairie de Marseille. Il s’inscrit dans la mouvance antisémite de l’époque.

Dans cet univers très machiste, le féminisme par ailleurs s’impose déjà comme combat politique.

Alors que les femmes ne sont pas autorisées à porter l’uniforme, 2 apprenties détectives, Rosemarie et Clémence, entendent prouver qu’elles auraient toute leur place au sein de la police.

En se mettant sur la piste de Dédé la tombe, elles seront vite dépassées par la duplicité sombre et sans pitié de la pègre.

Complot, drogue, prostitution, meurtres, etc. Qui sortira vivant de cette enquête ?

Pour le savoir, venez déguster ce fromage blanc au coulis rouge sang ; en prenant bien garde de ne pas glisser dans l’escalier…

Intentions :

"Du fromage blanc dans l’escalier" nous relate un moment charnière (et fictif) de la vie marseillaise, avec les élections municipales, des meurtres de personnalités majeures et le démantèlement d’un trafic de drogue à grande échelle.

Le fil tendu de cette enquête à la chronologie déroutante nous fait passer d’un espace à un autre, d’une scène de crime à la scène d’un cabaret, de salle d’interrogatoires à des salons privés…

Les différents éléments se mettent en place, telles les pièces d’un puzzle. Directement pris à partie ou parfois simple spectateur, le public se laisse ainsi guider aux hasards des témoignages ou indices, et refait le film à sa façon.

Hommage aux films de genre, avec détective privé et petites pépées, "Du fromage blanc dans l’escalier" oscille entre la franche comédie (gags, imbroglios, maladresses) et des propos plus politiques sur des sujets de société très contemporains (féminisme, antisémitisme).

Pour atténuer la violence inhérente à ce type de récit, le ton et l’esprit général regorgent d’une ironie, d’un décalage permanent, soutenus par un langage argotique très fleuri.

Grégoire Aubert

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